« Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille. »

 

Quand la douleur chronique vient un jour ou un matin frapper à la porte, sans savoir comment, ni pourquoi, elle vient se nicher à un endroit bien spécifique ou au contraire envahir de manière insidieuse le corps.

Elle vient frapper à l’esprit comme une chape épuisante qui ferme l’horizon dans un étau serré.

Elle prend toute la place et fait en sorte qu’on ne l’oublie jamais.

Elle est pénétrante comme un coup de poignard ou brulante de mille feux. Elle ressemble à des décharges électriques qui alourdissent les gestes et les pensées.

Elle prend toute la place et fait en sorte qu’on ne l’oublie jamais.

Elle est de l’aurore nocturne et de blême soirée. Elle monte,  elle descend un escalier en spirale éternelle.

Elle prend toute la place et fait en sorte qu’on ne l’oublie jamais.

Elle se fait petite et languissante comme une chatte sur un édredon qui simule un faux sommeil pour mieux attraper sa proie.

Elle est orage et tempête et aussi silence et prison

Elle prend toute la place et fait en sorte qu’on ne l’oublie jamais.

 

Et puis ….. un jour….. Quand on décide de mettre à  l’unisson l’esprit conscient, l’esprit inconscient et le corps, l’ on peut l’apprivoiser.

C’est un chemin lent de non-combat, de non-renonciation et d’écoute fine de son message. C’est lent comme un geste au ralenti, mais puissant comme une lame de fond.

Alors sans doute reviendra t’elle nicher à certains endroits, à certains moments, mais c’est  comme si elle savait se mettre en veille, elle-même, endormie, tranquille …

Le soir descend, il devient repos et douceur, le matin vient, il devient énergie et joie.

Alors oui, sois sage oh  ma douleur, car  je sais que je sais comment te  tenir tranquille.

 

 

Concours, examens ?

Le printemps arrive et si certains d’entre nous commencent à envahir les terrasses de café, d’autres s’enferment dans des bibliothèques ou à la maison pour préparer une épreuve, un examen, un concours.

Oui, c’est bien une épreuve. Il est bien question d’être éprouvé par un examinateur pour obtenir un fameux sésame. Un diplôme qui permet d’ouvrir des portes.Et c’est là tout l’enjeu. L’enjeu du résultat.

il y a deux stress en nous . le bon stress est celui

> qui permet de connecter toute la puissance intellectuelle.Le corps et l’ esprit sont alors à l’unisson pour organiser ces révisions :  les temps de travail , la bonne  alimentation, le temps de  sommeil et des temps de divertissement  .

le mauvais stress est celui

>De la panique qui se manifeste par un désordre d’organisation, des horaires de révisions farfelus, une mal bouffe et même une consommation de produits sensés améliorer la mémoire , la concentration , l’ énergie …Et ce mauvais stress n’est pas seulement sur la personne qui passe l’épreuve, mais il est contagieux pour toute la famille. (Même si celle-ci est au bout du monde !) Et tout le monde y va de ses conseils, de ses angoisses, de ses injonctions. Cela vient de la peur de l’échec, de la peur de cette fameuse porte qui risque de ne pas s’ouvrir.

Alors….Quand on se prépare avec le bon stress  , le jour J, est le jour où tout est en place, où tout est là pour que cela se passe bien : des connaissances bien organisées dans le cerveau, une capacité à réfléchir pour coller à la demande et une capacité à mettre son énergie physique, intellectuelle et émotionnelle au service de l’épreuve.

Tandis que si le temps des révisions s’est fait avec le mauvais stress , alors le jour j  sera le jour des dialogues internes stériles, le jour des mains moites, le jour où tout est confus dans le cerveau, le jour où plus aucune nourriture ne passe et le jour où les émotions à fleur de peau prennent le pas sur ce qu’il y a à faire.

 Sur l’agenda dostéohypnose, Soizic et moi,  dans le cabinet de Soizic à Carrières-sur-Seine, comme l’an dernier nous allons recevoir des personnes qui se préparent à une épreuve.

Notre accompagnement à leurs côtés est de mettre le corps et l’esprit à l’unisson pour que les ressources de calme, de distance, d’énergie et d’organisation des connaissances dans le cerveau puissent s’activer naturellement le jour J et que le corps enregistre tout cela par anticipation.

Et comme l’an dernier, nous serons contentes, en juin ou en juillet,  Soizic et moi, d’entendre les notes et les résultats obtenus par les personnes que nous avons accompagnées !

 

Isabelle Flye Sainte Marie :

06 63 47 41 62

ostéohypnose@gmail.com